jeudi 30 avril 2015

ont indiqué à l'AFP jeudi des sources proches du dossier

Nike TN Requin Nicolas Sarkozy était informé des "contraintes budgétaires" durant sa campagne électorale de 2012, a affirmé son ancien directeur de campagne dans l'enquête sur un vaste système de fausses factures lié à cette présidentielle, ont indiqué à l'AFP jeudi des sources proches du dossier. Il aurait été tenu au courant après une alerte d'un expert-comptable.
Interdiction d'engager des dépenses
Cette note, en date du 7 mars 2012, six semaines avant le premier tour, prévient que le montant des dépenses "budgétées" atteint environ 23,1 millions d'euros, soit davantage que les 22,5 millions d'euros du plafond légal, selon une source proche du dossier. L'expert-comptable de la campagne se base alors sur une prévision de 15 meetings jusqu'au second tour. Il prône des renégociations des contrats et une "interdiction absolue d'engager toute dépense complémentaire", selon la source.
En garde à vue début avril, l'ancien directeur de la campagne, Guillaume Lambert, a indiqué que Nicolas Sarkozy avait voulu relancer sa campagne après le deuil de l'affaire Merah, à la mi-mars. Selon ses propos rapportés à l'AFP, tn pas cher il l'a alors "informé" des "contraintes budgétaires" posées par la note de l'expert-comptable. Nicolas Sarkozy lui a répondu de n'ajouter que "de petites réunions publiques rassemblant aux alentours de 1 000 personnes, à coûts bas et maîtrisés".
Plus de 40 meetings
Selon des sources proches du dossier, les enquêteurs disposent aussi désormais d'un courriel adressé à Guillaume Lambert dans lequel le directeur général de l'UMP, Eric Cesari, évoque le souhait de Nicolas Sarkozy de tenir une réunion publique chaque jour. Au final, Nike tn plus de quarante meetings ont été organisés durant la campagne.
"La renégociation importante des contrats demandée par l'expert-comptable a permis de dégager des marges grâce auxquelles les petits meetings supplémentaires ont.


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